Hier, mercredi 14 décembre 2016, le dernier prisonnier du 24 juin a été libéré à Bâle. Le risque de fuite n’était plus justifiable en raison de la peine en attente.
Après presque six mois passé en détention préventive, il se voit désormais confronté à une interdiction d’entrer sur le territoire suisse pour une durée de quatre ans. L’interdiction est valable dès aujourd’hui et une violation à son encontre est punie d’une peine de prison. Cette mesure montre très clairement comment les autorités répressives prennent cette affaire au sérieux et comment il serait illusoire de croire que le pire serait désormais derrière nous.