Ces perquisitions font suite à la découverte d’un engin explosif devant la porte d’une librairie fasciste à Florence. Si l’engin ne s’est pas activé au moment voulu contre le local fasciste, celui-ci a cependant explosé à la face d’un flic qui tentait de le désamorcer.
Le matin du 1er janvier 2017, vers midi, la DIGOS de Florence est arrivée aux portes de trois appartements dans la ville, ainsi que d’une habitation du département de Prato. Ils ont perquisitionné les maisons et les voitures des personnes présentes, à la recherche d’armes et d’explosifs. Toutes les perquisitions ont eu un résultat négatif, sauf dans un cas, quand les flics ont confisqué du matériel électrique (câbles, interrupteurs, ampoules) et autre (ordi, bouchons de pots de conserve, cire d’abeilles…).


Le lundi 2 janvier, en Algérie, à Bejaïa, des affrontements ont eu lieu avec des flics, des voitures et des façades d’immeubles attaqués, alors que les petits commerçants et les détenteurs du marché se mirent en grève générale contre l’augmentation des impôts et le contrôle étatique. Le nouveau QG de l’Académie et une banque BNP ont été détruits et pillés; Il y avait des barricades en feu, des mini-autobus brûlés, une camionnette anti-émeute retournée; Et les travailleurs du transport se sont joints tardivement à la grève. Les bureaux locaux de la Société nationale des tabacs et des allumettes et un magasin éléctroménager ont été pillés. A Chorfa, un poste de police a été défoncé. À Tichy, un autre poste de police a été attaqué; À Amizour, une grande route était barricadée; À Bouira, les flics ont été attaqués. A Sidi Aich, un autre poste de police a été lapidé. Et il y avait des barricades enflammées dans Ain Benian.