Retours et paroles avant le début du procès dans le cadre du dénommé « Caso Bombas II »
Ce 24 mars 2017 commence le procès contre les compagnonNEs Enrique Guzman, Juan Flores et Nataly Casanova. Ce processus judiciaire se présente comme une nouvelle bataille entre les ennemis de la liberté et celleux qui refusent d’obéir à la domination. Après les arrestations médiatiques et les déclarations pompeuses du parquet, des policiers et des ministres, le labyrinthe juridique arrive à son point culminant contre Juan, Nataly et Enrique.
Aujourd’hui, l’inquisition démocratique cherche à se venger des différentes attaques explosives qui ont eu lieu dans la capitale, en particulier pour les engins explosifs qui ont pété le 11 août 2014 de manière coordonnée et simultanée contre le 39e commissariat de El Bosque et le 1er commissariat de Santiago Centro, deux actions revendiquée par la Conspiration Internationale pour la Vengeance (CIV).

Il a filtré depuis plusieurs jours par la presse que l’État espagnol a décidé d’expulser au Chili les compagnon-ne-s Mónica Caballero et Francisco Solar, après avoir rabaissé leur peine de 12 ans à 4 ans et demi. Ils ont obtenu l’expulsion au vu de leur période d’incarcération déjà réalisée et du type de peine.
A l’aube du 23 octobre, le même jour lors duquel les élections municipales ont lieu sur l’ensemble du territoire chilien. Des mains inconnues et anonymes snt entrées dans une agence de la ‘Banco Estado’ située à l’intersection des avenues ‘Macul’ et ‘Quilin’ à 01h00.
Dans la matinée du lundi 2 mai à Santiago, des mains anonymes ont déposé un engin explosif sur le mur d’enceinte du Centre de Perfectionnement des Carabiniers