A Hambourg, on dit bye-bye – même aux bagnoles de flics.
Le 17 mars, nous avons incendié deux véhicules de police à Hambourg. Tout près du domicile du maire Olaf Scholz, dans la ‘Schmarjestraße’, un véhicule de ses gardiens a cramé. Devant les locaux du bureau du syndicat de police (GdP) dans la ‘Hindenburgstraße’ et directement sous le nez de la préfecture, un car du GdP a brûlé.
Le syndicat de police et son président ‘Kirsch’ menaçaient après les émeutes du 21 décembre 2013 à Hambourg : « la prochaine fois nous tirerons à balles réelles ! ». Les fonctionnaires de police judiciaire du syndicat fédéral allemand, en allant dans le même sens, mettaient en garde contre une escalade de la conflictualité sociale à Hambourg en faisant référence aux affrontements à Gênes et le meurtre de Carlo Giuliani. Il est tout à fait clair à l’heure actuelle, que la mort de manifestant.e.s n’est pas à exclure en cas de perte de contrôle pendant le contre-sommet du G20 à Hambourg. Les victimes quotidiennes des flics ne sont pas uniquement des dégâts collatéraux nécessaires à ce système.

Les 21 et 22 février se tiendra à Berlin
Nous avons entendu parler des quatre personnes [1] qui ont été condamnées jeudi dernier (9 février 2017) pour avoir participé à la
[Dans la nuit du mercredi 8 février 2017 à Brême, un véhicule de l’armée a été incendié sur le parking du bureau de recrutement. Les dégâts s’élèveraient à près de 35.000 euros. Un communiqué revendiquant le sabotage a été publié sur linksunten indymedia et traduit ci-dessous.
Samedi 3 décembre, environ 300 personnes se sont rassemblées dans le 4ème district de la ville pour une manifestation sauvage en solidarité avec les migrants. Peu après 19h30 à ‘Helvetiaplatz’, le cortège s’est élancé en direction de la ‘Langstrasse’ et du centre-ville.
Ça se réchauffe, en ce qui concerne les préparations pour un mois de juillet brûlant contre le G20. Dans la nuit du 11 au 12 novembre, un bien de Thalès a été détruit.
Comme le rapporte la presse ce jeudi 3 novembre, un véhicule utilitaire a cramé. C’était nous!