Des flammes sous les nuages
voiture de collabos qui crament
mercredi soir on était pas fatigué alors on est partie a la chasse aux collabos. On avait envie d’aiguiser nos critiques et de pas se contenter d’évidences. Du coup quant on est tombé sur 3 véhicules du C.C.A.S (charognard de l’humanitaire) on y a foutu le feu.
Le C.C.A.S co-gère la misère, donnant ainsi une caution morale a la démocratie.
La police sociale nous parait plus dangereuse encore que les coups de matraques de leurs collègues en uniforme.
Tout les flics ne sont pas bleus.
Et pourtant partout où on les croise les flics sont nos ennemis.
Pas besoin de leurs donner rendez-vous,on peut les enflammer au coin d’une rue,dans l’angle mort d’une caméra,en plein jour ou par nuit noire,seul ou en bande,bref partout où ça nous semble propice.
l’insertion est une forme d’incarcération.
a bientot.
quelques réfractaires a l’enfermement.
[Publié sur indymedia nantes, jeudi 23 mars 2017]

« Les Républicains » ont reçu de la visite dans la nuit de dimanche à lundi 21 mars 2017 à Grenoble. Après avoir posé des tags sur le mur de l’immeuble et détruit plusieurs vitres extérieures, les révolté.es ont saccagé l’intérieur du local: de la peinture rouge a été propulsée du sol au plafond, de l’amoniac a été balancé sur des piles de tracts et d’affiches, ordinateurs et mobiliers détruits….
« Pourquoi diffusons-nous ces adresses ?
Nous ne voulons pas cautionner cet état de fait, nous ne voulons pas choisir le moins pire. Aucune envie de réussir dans cette société pourrie, ni de changer les règles d’un jeu que l’on sait truqué dans ses fondements. Nous voulons en finir avec un monde qui s’appuie sur l’autorité. Nous ne votons pas, notre choix est celui de la révolte. Par la parole, par la critique et l’analyse. Par les « petits » choix du quotidien. Par des actes destructeurs. Par des passions créatrices.
A Hambourg, on dit bye-bye – même aux bagnoles de flics.
Les quelques 300 manifestants contre la brutalité policière qui ont défilé mercredi soir dans les rues de l’est et du centre-ville de Montréal ont laissé sur leur parcours une voiture de police vandalisée, quelques vitrines brisées et des graffitis anarchistes.
On s’était donné rendez-vous à 11h30, porte d’Orléans, pour un départ groupé en bus et en voiture vers Fleury. Les contacts avec les proches de détenu.es ont pu commencer dès la distribution du tract dans le bus.