Hambourg : voiture des chiens de garde de « Securitas » incendiée
 Parce que nous méprisons tout type d’autorité, nous avons mis le feu à une voiture de l’entreprise de sécurité « Securitas » la nuit dernière [mardi 4 avril 2017, NdT]. Les relations dans lesquelles nous nous trouvons veulent nous expliquer qu’il y a des politiciens, des juges et des procureurs, des profs emmerdants et des contrôleurs, ou justement des flics et leurs toutous de la sécurité privée, qui sont au-dessus de nous et contrôlent nos vies. Cet état de fait est absolument inacceptable. Nous pouvons nous-mêmes nous prendre en main et nous nous apercevons qu’ils constituent un obstacle pour une vie émancipée. Car ils sont là pour défendre la liberté des dominants. Et non la liberté de ceux libérés de la domination.
Parce que nous méprisons tout type d’autorité, nous avons mis le feu à une voiture de l’entreprise de sécurité « Securitas » la nuit dernière [mardi 4 avril 2017, NdT]. Les relations dans lesquelles nous nous trouvons veulent nous expliquer qu’il y a des politiciens, des juges et des procureurs, des profs emmerdants et des contrôleurs, ou justement des flics et leurs toutous de la sécurité privée, qui sont au-dessus de nous et contrôlent nos vies. Cet état de fait est absolument inacceptable. Nous pouvons nous-mêmes nous prendre en main et nous nous apercevons qu’ils constituent un obstacle pour une vie émancipée. Car ils sont là pour défendre la liberté des dominants. Et non la liberté de ceux libérés de la domination.

 Bonsoir! Dans la soirée du 28 février 2017, nous avons incendié six voitures de l’entreprise Securitas à la gare Anhalter. Depuis deux ans à Berlin, Securitas surveille l’accès à
Bonsoir! Dans la soirée du 28 février 2017, nous avons incendié six voitures de l’entreprise Securitas à la gare Anhalter. Depuis deux ans à Berlin, Securitas surveille l’accès à  Nous nous sommes décidés à saboter l’entreprise « Securitas », pour l’empêcher de s’enrichir en enfermant, en humiliant et en expulsant des gens. Le 17 juin 2016, nous avons crevé les pneus de trois véhicules devant le siège de « Securitas » à Thoune.
Nous nous sommes décidés à saboter l’entreprise « Securitas », pour l’empêcher de s’enrichir en enfermant, en humiliant et en expulsant des gens. Le 17 juin 2016, nous avons crevé les pneus de trois véhicules devant le siège de « Securitas » à Thoune.