Archives par étiquette : Face à la répression

[Bretagne] Arrestation en lien avec le mouvement contre la « loi travail »

Ce matin, mercredi 7 décembre, un compagnon anarchiste a été arrêté chez lui en Bretagne, par des flics venus de Paris.

Il serait accusé de « dégradations », apparemment dans le cadre du mouvement contre la Loi travail.

Plus d’infos dés que possible.

Solidarité ! Nous ne baissons pas la tête.

[Repris d’Attaque]

[Limoges] Soirée anti-répression samedi 10 décembre 2016

antireplimogesSuite à plusieurs interpellations, un groupe de personnes a exprimé la nécessité de s’organiser et de réfléchir ensemble face aux phénomènes de répressions qui se généralisent.

Un collectif anti-répression de Limoges propose donc le 10 décembre 2016 à 18h30 (Salle Ladoumègue, rue Ladoumègue) : une soirée de soutien aux différents inculpés de Limoges et de ses environs.

Ainsi, il vient affirmer sa solidarité face aux attaques, tant symboliques que physiques, qu’assènent fréquemment la police et la justice.

Les exemples ne manquent pas : contrôles de « routine » au faciès qui font loi dans les banlieues, arrestations et enfermements des migrants, répressions des militants lors des mouvements sociaux ou bien mutilations des manifestants par les forces de l’ordre (flash-ball et grenades de désencerclement…).

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[Montreuil, 93] Week-end de solidarité avec les prisonnier.e.s de la guerre sociale (29 et 30 octobre 2016)

Comment affirmer une solidarité, y compris face à la répression, avec des actes de révolte partagés ?

kalicouleursmallEn ces temps de guerre et de serrage de vis généralisé, les conditions de vie insupportables qui nous sont imposées reposent sur la peur. Peur de perdre son boulot et de ne pas arriver à boucler les fins de mois, peur de la police, peur de la prison. Un sentiment encore renforcé par un état d’urgence prolongé indéfiniment et par l’enfermement de toujours plus de récalcitrantEs et pour toujours plus longtemps. Il y a pourtant tellement de raisons de se révolter contre ce monde de fric et de flics, qu’il n’y a rien d’étonnant à ce que nombre d’individus ne se résignent pas et continuent d’agir envers et contre tout, à quelques-unEs ou à plusieurs, de jour comme de nuit. Car la guerre sociale ne connaît pas de trêve contre l’ordre mortifère de l’Etat et du Capital : attaques de frontières, mutineries en taule, évasions de centres de rétention, sabotages de projets d’aéroport ou de THT, saccages d’écoles, incendies d’engins de chantier ou de câbles des flux de transport et d’information, destructions de permanences électorales ou émeutes suite à un énième assassinat policier, débrouilles quotidiennes pour tenter d’échapper à l’esclavage salarié,… voilà un peu du désordre quotidien qui se passe volontiers de loi –divine ou terrestre– pour se manifester en toute liberté.

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