Archives par étiquette : Chaque âge saccage sa cage !

[Besançon] Feu à une cellule du comico

Mise-à-jour, 01/09/2015:

Le jeune incendiaire est passé le lendemain en comparution immédiate devant le tribunal pour avoir incendié sa cellule en mettant le feu à une couverture. Pour cela, il risque 10 ans de prison depuis l’instauration de la récente loi anti-terroriste sous l’accusation « d’entreprise teroriste individuelle » (comme pour l’incendiaire de l’hôtel de ville de juin dernier comme le permet ).

A la barre du tribunal, il déclare sans sourciller: « Ils [Les flics] ne voulaient pas me donner mon assiette et ils m’avaient mal fouillé. J’avais un briquet et de la beuh, alors j’ai mis le feu ». Son avocat a demandé un délai pour préparer sa défense. Le proc’ l’a envoyé directement en détention préventive étant donné sa « dangerosité ». Le procès aura lieu le 23 décembre prochain.

Incendie au commissariat de Besançon

Un détenu aurait mis le feu à son matelas.

incendieBesançon. Ce dimanche aux alentours de 21 h, un incendie s’est déclaré dans une cellule de dégrisement au commissariat de Besançon. Un détenu aurait mis le feu à son matelas. Un dispositif de secours important a été déployé, d’une part pour venir à bout des flammes, et d’autre part pour prendre en charge les personnes incommodées par les fumées, dont l’auteur présumé des faits qui a été transporté à l’hôpital de Besançon.

Leur presse – l’est républicain.fr

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[…] Intoxiqué par les fumées, l’auteur présumé du sinistre a été pris en charge par les secours et transporté à l’hôpital de la ville. Les deux autres personnes en garde à vue ont également été évacuées.

Leur presse – plein air, 31/08/2015

[Nantes] Feu à la cellule du comico – 21 juillet 2015

incendieUn jeune homme, qui s’était déjà évadé, menottes dans le dos, du palais de justice en 2014, a mis le feu au matelas dans les geôles de garde à vue pour échapper au tribunal.

Un jeune homme n’a pas supporté l’idée d’être jugé en comparution immédiate mercredi à Nantes. Il devait être jugé pour évasion, n’ayant pas réintégré sa cellule après une permission.

Extrait de sa cellule de la maison d’arrêt de Nantes où il est actuellement détenu, il avait été placé en garde à vue à l’hôtel de police dans l’attente de son transfert au palais de justice.

Déjà une tentative en 2014

Mardi soir, il a incendié un matelas dans les geôles de garde à vue à Waldeck-Rousseau. Le garçon a été examiné par un médecin qui a considéré que son état était incompatible avec la garde à vue.

Le 24 avril 2014, déjà, il avait tenté de s’enfuir du tribunal où il était présenté devant un magistrat. Il s’était échappé du palais de justice et avait parcouru 800 m, menottes dans le dos. Il avait finalement été rattrapé par les policiers.

Leur presse carcérale – ouest-france.fr, 23 juillet 2015