[Bolivie] Lettre du compagnon Henry Zegarrundo à trois ans du coup répressif

Quelques mots du compagnon Henry Zegarrundo à trois ans du coup répressif en Bolivie

Après trois ans de jours longs et obscurs, d’autres intenses et réconfortants à différents moments, en prison, en arrestation domiciliaire. Ce réconfort est le début de nouvelles expériences qui aident à émerger, à ne pas étouffer dans le vomi du Pouvoir, des expériences qui font que les éclaboussures de la démocratie ne me transforment pas en un docile de plus.