Dans la nuit du 23 mai, la police arrête trois anarchistes avec l’accusation d’une tentative d’incendie d’une voiture de la police. Les trois sont transférés en prison, où il devront rester durant les trois prochains mois, en attendant le procès. Ils risquent jusqu’à 8 ans de prison.
Les médias ont beaucoup parlé de l’affaire dernièrement, en donnant la parole à la télévision à des politiciens hauts-placés et des « experts » du terrorisme. Les photos et les vidéos des personnes arrêtées qui marchent avec des chaînes aux poignets et aux chevilles ont même été retransmises dans les transports publics.